L’année 2020 aura été exceptionnelle, avec de grosses incertitudes, des contraintes et des réussites. La majorité des observateurs/économistes de l’immobilier s’accordent à dire que le marché a tenu bon dans son ensemble avec une baisse par rapport à 2019 qui avait été, elle, exceptionnelle en performances immobilières. Ils s’attendent à une légère baisse du volume d’affaires sur les 6 premiers mois de l’année en raison de la continuité de la crise sanitaire.

Les acteurs de terrain, quant à eux, sont plus optimistes. Pour Yann Jéhanno dans MySweet Newsroom, le 4 janvier 2021, « l’intérêt des Français se porte principalement sur les maisons (+10 %), alors que la demande régresse pour les appartements (-9 %) : sans aucun doute l’un des effets du confinement, avec l’envie de retrouver plus d’espace et de profiter d’un extérieur.

L’appétence pour la pierre est donc toujours bien présente. Le télétravail et les confinements ont fait naître de nouveaux projets ou intentions, notamment chez les primo-accédants, qui restent déterminés et volontaires. Certains se heurtent toutefois à une solvabilité entamée par le chômage partiel, ainsi qu’à une hausse ininterrompue des prix. […] ont obligé les ménages modestes à suspendre leurs projets. »

Au niveau des leads, nous constatons une stabilisation sur 2020 avec une légère inflexion sur la fin de l’année ; ce qui corrobore les analyses de marché (le marché aura baissé au final de 8% par rapport à 2019 selon la FNAIM, mais se place dans les tops 4 plus grosses années, source Les Echos du 31/12/2020).